By the swimming pool II

J'ai toujours aimé l'architecture, je pense qu'elle m'a donné beaucoup d’inspirations, notamment les formes. Lorsque j'ai vu les images de Muralla Roja pour la première fois, j'ai été immédiatement surpris par les couleurs et la façon dont Ricardo Bofill a créé et séparé l'espace. Et c'est devenu la destination de mon projet depuis . Après que le Covid ait bloqué le monde pendant deux ans, j'ai finalement eu la chance d'y aller avec un danseur pour que mon rêve devienne réalité. Mais c'est comme tout le reste, rien n'est facile. Nous avons parlé et imaginé ce que nous pouvions filmer et où, et comment le mouvement devait être. Mais rien ne correspond à ce que nous pensions une fois sur place. Tout d'abord, il n'y a pas assez d'espace pour que les danseurs puissent se déplacer ou danser comme je leur demande toujours de le faire. Le couloir est trop étroit, les escaliers sont entrelacés de façon complexe, c'est quelque chose que je n'ai jamais vu auparavant. C'est peut-être ce que Ricardo Bofill veut nous donner, les Inceptions, l'établissement ou le point de départ d'une institution ou d'une activité. Je commence à demander au danseur de danser, de bouger autant qu'il le peut pour se rapprocher de ce que je lui ai demandé de faire. Et en même temps, j'essaie d'imaginer et de jouer l'espace, de faire des illusions gravitationnelles.

By the swimming pool II

5.000 €